Millefeuille grenadier Millefeuille grenadier (Kenya)

À quoi ressemble-t-il ?

Le grenadier est un arbuste vivace à feuillage persistant qui atteint entre 5 et 8 m de haut et est indigène de la région méditerranéenne et de l’Inde du Nord.

Ces graines, sous-produit du processus d’extraction de jus, sont séchées trois jours après récolte pour garantir une qualité optimale. Elles sont ensuite emballées et expédiées vers l’usine de notre partenaire au Kenya. Une fois au Kenya, les graines sont testées pour s’assurer qu’elles sont conformes aux critères de qualité requis. Les graines sont ensuite fendues et versées dans une presse à froid spécifiquement conçue pour extraire l’huile des graines à faible rendement. La teneur en huile représente seulement 7 % du poids - cela signifie que plus de 14 kg de graines doivent être pressées pour produire 1 kg d’huile.

L’histoire de doTERRA Healing Hands

doTERRA Healing Hands a financé de nombreux projets au Kenya. Cela comprend notamment la construction de salles de classe et de toilettes supplémentaires à Kiwegu Primary School ; la construction d’une bibliothèque scolaire, d’un réservoir d’eau, d’une salle du personnel, de toilettes, d’appartements pour les enseignants et d’un patio pour les élèves à Mwamose Primary School (ainsi qu’une aide à la scolarité) ; la construction du Mwena River Bridge, pour permettre à la communauté et aux écoliers de traverser le fleuve ; la construction de Mejwengo Mapya Kindergarten School ; la construction d’un centre communautaire ; la création du TICAH—formation sur la culture indigène et la santé pour 2 000 écoliers ; la création de Colobus Conservation—sensibilisation et reforestation d’arbres indigènes ; Mwamose Water Point, un forage et château d’eau communautaire ; et le Water Maintenance Trust Fund, qui mène des recherches en continu et s’occupe de l’entretien des sources d’eau communautaires.

En plus des dons de doTERRA Healing Hands, nous avons mis en place un fonds de développement communautaire (Community Development Fund) au Kenya. Pour chaque kilo d’huile essentielle produite par les coopératives d’agriculteurs, une partie de ces revenus est reversée dans un fonds contrôlé par les coopératives elles-mêmes pour financer à leur gré de plus vastes projets de développement.